Aeron

je peux pas resister a la tentation de le poster ici

"N'est pas mort pour toujours qui a jamais sommeil,Mais d'étranges éons rendent la mort mortelle"

Je me nommes Aeron. Et je suis mort. Une nouvelle vie m'a été offerte. Une nouvelle vie pour faire a nouveau ce que j'aime le mieux; tuer et faire souffrir...

Loin au nord, je vivais avec mon peuple. Au milieu de la neige, des terres rudes. Nous etions des guerriers.

C'est vrai, nous aimions la guerre.
Quoi de mieux que de découper son ennemie, de le trancher, de le saigner.
Nous aimions le sang.

Je suis mort lors d'une bataille, peut être transpercé par des flèches, peut être découpé par une hache... BA qu'importe, ce qui est important, c'est que les Dieux m'ont refusé le Valhalla.
Et j'en suis fier; une nouvelle vie de massacre, d'horreur, de guerres et d'escarmouches recommence!
Du sang pour la Haine Noire!

Je peux enfin recommencer a honorer les dieux.. Oh oui, j'ai attendu ce jour avec impatience...


La haine est le meilleur des guides, et la plus puissante des armes.

Vous voyez Aeron qui commence a trembler, il prend sa tete entre ses mains, et hurle. Ses yeux sont devenus rouge, une lueur folle en émane. Du sang coule de sa bouche


Il faut que je... Tue! Oh oui, il le faut, il le faut, il le faut...
Le sang doit... Aeron hurle couler!

Il faut apaiser les Dieux noirs, nos Maitres...Ils en veulent toujours plus, plus et encore plus... Et cela fait mal!
Il faut que je tue pour calmer leur colére, et... Aeron s'écroule au sol, son corps est prit de spasmes. Dans un murmure, il chuchotte
pour ne plus avoir mal...
Oh oui, il faut que se soit les autres qui aient mal. Aeron se relève
Oui... Il faut les faire souffrir, leur faire du mal. Qu'ils sachent quelle est la puissance des Dieux noirs. Ils souffriront, et moi je pourrais.. Oui.. Je pourrais les tuer et leur faire mal!
Les Dieux noirs seront contents...
Que Romine brule!


[b]Aeron, le dos courbé, regardait les monstres a proximité de l'autel de renaissance. Un élémentaire de feu, une wyvern et un gobelin rodaient...
Le combattant mort souria, dévoilant de monstrueuse dents, et caressa ses poings...

Il se releva et chargea le gobelin. Arrivé trop brusquement, la créature esquiva ses trois premières attaques et contre-attaqua Aeron.
Les yeux de se dernier rougirent, ses mains tremblèrent. Il hurla:

"-Pour les.... Dieux... Noirs! "

Aeron rugit, et déchaîna une avalanche de coups. Le gobelin couina et dans un dernier sursaut de vie, blessa Aeron à la hanche. Le mort-vivant tua la misérable créature.

Aeron reporta sa rage sur le monstre le plus proche: l'élémentaire de feu... Tout a coup, un autre mort vivant arriva dans le dos d 'Aeron, et incantant, il soigna le combattant regénerant un peu de sa chair blessée...
Le remerciant, Aeron chargea l'élémentaire, la bave aux lévres, les yeux exorbités, tel un démon...

Aeron se sentait plus...Plus puissant, plus résistant... Au fur et a mesure qu'il tuait, le sang coulait... Et son corps exprimait sa joie.

Les Dieux Noirs aussi.

Aprés avoir tué une wyvern, il découvrit une grotte.
Il s'approcha de celle ci, et hésitant sur la marche a suivre, il s'arreta.
C'est alors, qu'il entendue une voie dans sa tête. Pas dehors, mais une voie qui résonnait dans son crâne...

"- Bien, Aeron, c'est bien comme ça que tu te nommes... Laisse moi te parler un instant, veux-tu? Tu te demandes qui-je suis, n'est ce pas? Et bein, je suis un des Dieux-Noirs... Et je dois dire, que je suis trés content de toi... Mais j'ai le sentiment que tu peux mieux faire, mon fils... Et pour ceci, je vais t'aider... Dans la caverne, il y a une arme, pour toi... Elle est tienne, mais seulement a certaines conditions; continus a tuer, a massacrer pour nous, les Dieux-Noirs...Nous aimons ta soif de sang, et la folie qui parcourt ton corps... Va, maintenant, et Tue en notre nom!"

Sitot, que son Dieu eut fini, Aeron fonça dans la caverne.
Une épée tronaît, enfoncée dans le cadavre putride d'un homme.
La lame était bleue, froide, comme glacée. La garde, elle, était constituée de peau humaine, mais travaillée comme du cuir. L'épée était rude et lourde. Son double tranchant brillait d'une légère lueur bleu glacée... Elle semblait couper l'air.

Aeron mit ses deux mains sur la garde, et tira. L'épée jailli du cadavre, émettant un petit bruit. Le corps d'Aeron hurlait son plaisir... Ses muscles retrouvérent une sentation inconnue; il mourrait d'envie de tailladait de trancher de couper... De sentir le sang gicler d'un corps coupé en deux, d'une tête décapitée s'écraser par terre... Son souffle s'accelera. D'anciens souvenirs de batailles et de carnages surgirent de son esprit. Oui.. Il se souvenait...

Poum, un de ses compagnons qui idolatrait aussi les Dieux noirs, arriva a toute vitesse:
"Mon frére, des elfes cherchent la mort a proximité de notre Nécropole... Viens avec nous..."

Aeron, fou de rage, prit son épée dans sa main gauche, et courru vers les lignes elfiques. Son épée levée au dessus de sa tete, il criait la gloire des Dieux-Noirs. Du sang coulait de sa bouche...

Les elfes étaient bien organisés. leur ligne n'était qu'a quelques metres de la nécropole. Lorsqu' Aeron vit les lignes elfiques, il trembla. Sa soif de sang et de bataille se fit douloureuse... Il ne voyait q'un reméde a son mal; il fonça vers la ligne ennemie, tel un félin fondant sur sa proie. il entendit le bruit des pas, les haletements, le cri des blessés, le cliquetis des armures, les lames qui s'entrechoquaient, les lions qui rugissaient, les momies qui gémissaient. Aeron n'en avait cure; son attention était entiérement posée sur l'odeur du sang. Ce sang si odorant, il l'offrirait au Dieux-Noirs... D'ailleurs, il ne connaissait pas grand chose ses Dieux. Meankriss lui avait juste soufflé qu'ils formaient une trinitée... La soif de sang, de soufrance et de douleur, Aeron l'avait interprété d'aprés ses propes experiences...Douloureuses...
Aeron ne tuait pas. Il blessai sa victime de façon impitoyable, sans la tuer, pour qu'elle souffre... La Mort était pour lui une délivrance, puisqu'elle mettait fin aux souffrances...Les tendons tranchés, les os brisés, la victime était impuissante, et mettait des jours a agoniser, dans une douleur qui augmentait graduellement...

Pluseurs jours de batailles passérent ainsi... Un matin, venant en aide a un rodeur, il attaqua un elfe; Son épée se levait, s'abaissait en sifflant, tranchant la chair avec un bruit mate. Obnubilé par sa frénésie, Aeron trancha la gorge de l'elfe...

le temps s'arreta, un bourdonnement vrilla les oreilles d'Aeron.
Il vit sa lame sortir de la carotide de l'elfe, le bruit de la chaire déchiquetée, le râle de la victime... Tout était supendu, le corps de l'elfe, laissa s'echapper par le gorge, une forme, bleue, spectral... Ce nuage, prit la forme de la victime, dans la meme position, un cri spectral se fit entendre. C'était l'âme de l'elfe... L'épée d'Aeron se mit a pulser, tel une veine. partant de la garde, la pulsation finissait a la pointe. Elle provoqait une bruit sourd, comme un battement de coeur. La lame comença a briller, et l'âme de l'elfe sapprocha doucement d'Aeron, comme portée par un vent... Le corps spectral de l'elfe gemissait, et il toucha l'épée.
Il se fit aspirer, doucement. La lame se couvrit de runes, rouges , qui pulsait doucement, de moins en moins vite. Aeron s'avança, et aspira lui aussi, un peu d'âme...
Ce qu'il ressenti, fut inimaginable. Il senti toutes les émotions de l'elfe; la peur de souffrir, la peur de ne pas revoir ses proches, la peur des Morts-Vivants, et surtout la peur de la Mort...

Lorsque toute l'âme fut aspirée; le temps redevient normal, et Aeron se rua a nouveaux dans la bataille.

" Qu'ils meurent tous, pour les Dieux-Noirs!"

Désormais, il offrirait des Âmes a ses Maîtres...

Aeron rentra dans le dedale, il s'avanca dans la caverne putride. De l'eau coulait des murs, du sang et des entrailles...

Le Dedale était desomais le Temple des Dieux-Noirs... Un chant extasique résonna aux oreilles du combatant mort-vivant;
"Le dédale et les cryptes sont notre bien...
Nous devons les protéger des races impures...
Chassons les de nos Demeures...
Nous avons faim, ils sont faibles...
La porte se doit de rester ouverte pour nos frères !
Poursuivons-les entre les murs noirs, ils n’ont pas le droit d’être ici

Tuez les... Tuez les tous!"

Soudain, Aeron entendit un bruit... Un souffle... Quelqu'un respirait, et ce bruit trahissait la terreur...

La lame bleue d'Aeron pulsa dans sa main... Des proies étaient proches...

Soudainement, un rodeur humain jailli d'un tournant, fonçant sur Aeron, levant une dague.
le combatant esquiva le rodeur, et mit sa jambe en travers de celle de l'humain... Ce dernier s'écrasa par terre, la tête dans une flaque formée par les restes d'un elfe.
Aeron souria doucement. Il s'approcha de l'humain qui se debattait par terre, et d'un coup de pied, lui brisa la jambe droite. Un craquement delicieux se fit entendre et l'humain hurla. Le mort vivant s'asseyit sur le dos de l'humain, ce dernier hurla de plus belle. Aeron lui tira le bras droit derriere le dos et lui brisa. Maintenant le rodeur pleurait...

"Sa fait mal, hein? Sache que la vie n'est qu'un immense douleur... Rien ne s'arrete. Les Dieux-Noirs, eux dans leur immense bonté nous permettent d'exploiter la douleur des autres...

-Laissez moi, sanglota l'humain, laissez moi... je vous en prie....

-Toujours gemissant, ses mortels, voyons je n'ais pas finis avec toi...

Aeron tira les cheveux du rodeur, et de sa main gauche leva son épée. Cette derniére trancha la tete de l'humain...

Le temps sa ralentissa. Un bourdonnement se fit entendre. La lame sortit du cou pulsa et le bleu se fit plus intense... L'âme du rodeur se fit lentement aspirer par l'épée et Aeron.

D'autres humains arrivaient en courant, attirer par les cris de désespoire de la victime. il s'arretérent tous devant le spectacle horrible: Aeron assis sur le cadavre de l'homme buvait le sang qui s'echapper de la tête.Il avait du sang qui coulait de son menton et des lambeaux de chair sur levres.
Certains vomirent, d'autres reculérent horrifiés. Aeron tourna la tête, et les observa. il se leva, lecha ses lévres, prit son épée a deux mains et chargea les mortels.



"Pour les Dieux-Noirs!"


Actes de cruauté commis: 2

Firoza se redressa le regard perdue au loin et l envie de vomir se faisait sentir au plus profond de son ame....

Ce n'était pas un vomissement physique mais plutot une boule qui restait coincée dans sa gorge et une haine immense qui se propageait dans son corps et son coeur tout entier contre la race la plus immonde de Romine : les Morveux.

Sa resurrection etait un miracle de toute beauté....a l approche de sa position se tenait 2 orcs de niveau 10 pret a etre degustés et tués sur le vif....elle commenca pas le plus fort Cerby pour l assomer d un coup de pattes de nounours et venger ainsi la mort de son cher compagnon Nerus....puis elle decida d en finir avec le deuxieme....

Ainsi rassenerée, son coeur emplit de violence et d amertume se calma et elle décida de pardonner a ces infortunées créatures et de leur faire la peau jusqu a l extinction de leur race.